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Assemblée Générale FFBB
Les récompenses fédérales 2021
Cette année, à l’occasion du dîner de Gala de l’Assemblée Générale de la Fédération Française de BasketBall, qui s’est déroulée à Pau (64), samedi 16 octobre 2021, le président de la FFBB, Monsieur Je...
L'ailière des Bleues Diandra Tchatchouang a fêté ses 30 ans ce lundi. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ses coéquipières en bleu avaient prévu une jou...
Le 93 dans le cœur
Un engagement sans faille pour son département d'origine, le 93, avec des actions sociales pour la jeunesse. Portrait de l'ailière des Bleues, Diandra Tchatchouang,...
Comment ça va Diandra Tchatchouang ?
Quelques jours après la fin du confinement, nous avons posé quelques questions à Diandra Tchatchouang. À 28 ans, la joueuse originaire de Seine-Saint-Denis se définit comme une sportive et femme engagée. Lors de cet entretien passionnant, elle revient sur la place des études dans sa vie d...
L'heure de la confirmation
Leader du groupe B avec Fenerbahce et Schio, Lattes Montpellier, qui reste sur un succès probant contre le club turc, doit désormais s'affirmer comme l'un des patrons. La prochaine étape pou...
Premier choc entre cadors
Alors que seulement deux journées ont été jouées, le premier choc de la saison e...
Retenus par différentes obligations Valérie Garnier (ex-entraîneur de l’Équipe de France féminine) et Vincent Collet (entraîneur de l’Équipe de France masculine) ne pouvaient pas être présents à Pau lors de cette soirée de Gala. Ils ont néanmoins été très longuement salués et applaudis par l’assistance au moment de recevoir le Trophée Robert Busnel-Yvan Mainini, la plus haute distinction fédérale.
Quelques instants auparavant, à l’occasion de la remise des Coqs de la FFBB, Dominique Juillot, ancien président de l’Elan Chalon, Nando De Colo et Diandra Tchatchouang, tous les deux médaillés aux Jeux de Tokyo et ayant un dévouement sans faille au maillot bleu, ont été décorés du Coq d’Or de la FFBB. Si le joueur du Fenerbahçe ne pouvait être présent à Pau, l’internationale aux 107 sélections, était, elle, bien présente pour recevoir cette distinction, tout comme l’ancien Président du club Champion de France en 2012 et 2017, devant les représentants des clubs français.
Les Coqs 2021 de la FFBB
Coqs d’Or : Dominique JUILLOT (ancien président Elan Chalon), Nando DE COLO (joueur international), Diandra TCHATCHOUANG (joueuse internationale)
Coqs d’Argent : Jacques COMMERES (Directeur du Pôle Haut Niveau), Daniel HERBLINE (Président LR Normandie)
Coqs de Bronze : Jean BAFFERT (Secrétaire Général CD 73), Anne LUCIANI (Présidente LR Corse), Robert JAUNIER (ancien Président du CD 64), Rolande DARNAL (Présidente LR Guyane), Bernard DANNEL (Membre du Comité Directeur Fédéral, Vice-Président du CD 62).
Historique du Trophée Robert Busnel – Yvan Mainini et ex médaille Robert Busnel
Cette année, à l’occasion du dîner de Gala de l’Assemblée Générale de la Fédération Française de BasketBall, qui s’est déroulée à Pau (64), samedi 16 octobre 2021, le président de la FFBB, Monsieur Jean-Pierre SIUTAT, a remis de nombreuses et prestigieuses récompenses à des personnalités du basket français. Valérie Garnier et Vincent Collet ont tous les deux été décorés de la plus haute distinction de la FFBB, le Trophée Robert Busnel-Yvan Mainini.
L'ailière des Bleues Diandra Tchatchouang a fêté ses 30 ans ce lundi. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ses coéquipières en bleu avaient prévu une journée plutôt animée et pleine de surprises.
Les Bleues, autrement. À quelques semaines de l'EuroBasket Women 2021, dont le 1er tour se déroulera à Strasbourg du 17 au 23 juin prochain, découvrez une série de portraits des joueuses de l'Equipe de France féminine.
Un engagement sans faille pour son département d'origine, le 93, avec des actions sociales pour la jeunesse. Portrait de l'ailière des Bleues, Diandra Tchatchouang, la Seine-Saint-Denis dans le cœur.
Comment ça va Diandra ? Ça va, ça va. Le retour à la vie presque normale se passe bien même si à mon niveau il n’y a pas trop de changements. Les salles n’étant pas encore disponibles, il n’y pas grand-chose qui a changé pour moi. Je ne suis pas retourné faire les magasins, juste le strict minimum avec les achats de première nécessité.
C’est vrai que quand on lit ta biographie, on est tout de suite impressionné par ton parcours sportif mais aussi scolaire. Tu as eu la chance de pouvoir allier les deux en NCAA à Maryland et tu es aujourd'hui à Sciences-Po. C’est quoi la recette secrète de Diandra Tchatchouang ? Il n’y a pas de recette secrète (rires). Je pense que c’est lié à mon éducation. La place des études a toujours été très importante et prioritaire par rapport au basket. Quand j’ai eu mon bac après 4 ans passés au Pôle France BasketBall, je ne me voyais pas passer professionnelle et ne pas pouvoir étudier à côté. C’est pourquoi je me suis orienté vers un cursus universitaire à 18 ans aux États-Unis qui me permettaient de faire les deux. J’avais envie d’allier le côté étude et pouvoir jouer à un niveau compétitif en NCAA. Je pense que c’est toujours important de faire autre chose pour trouver un certain équilibre, c’est aussi pour ça que je suis encore à Sciences Po. C’est aussi un moyen de préparer sa reconversion.
"Sportive et femme engagée"
Tu te considères comme « sportive et femme engagée ». Alors c’est quoi pour toi être une sportive et une femme engagée ? Comment réussir à faire un lien entre les deux ? C’est s’intéresser à des sujets autres que le sport. Pour ma part, j’essaye de défendre différentes causes en utilisant ma voix d'athlète professionnelle. Ça peut être des injustices homme-femme, d'autres par rapport aux différentes classes sociales.
Tu es membre de la commission d’athlètes Paris 2024 avec ton association « Study Hall 93 ». C’était important pour toi de t’engager auprès des jeunes de La Courneuve ? Oui car je suis originaire de La Courneuve et de Seine-Saint-Denis. Study Hall c’est mon association qui est née il y a un peu plus de 2 ans maintenant. C’est un dispositif de soutien scolaire qui a pour but d’aider les jeunes sportifs de la ville. C’est aussi une façon d’éloigner les jeunes des mauvaises influences. J'étais à leur place il y a quelques années, quand j’étais encore au collège à La Courneuve et je sais qu’il y a beaucoup de choses qui auraient pu me détourner du droit chemin. Plutôt que d'aller trainer entre la fin des cours et le début de l'entraînement, les jeunes font leurs devoirs pour le lendemain ou pour la semaine. À la commission des athlètes, mon rôle concerne beaucoup plus la partie Héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. À travers mon association, j’essaye de préparer les jeunes en organisant des stages linguistiques pendant toutes les vacances de façon à ce qu’ils puissent être eux aussi acteurs de ces Jeux Olympiques.
On peut aussi parler de « Take Your Shot », une journée dédiée aux U13 et U15 féminines de La Courneuve… Lors de la première édition, il y avait à peu près 80 jeunes filles. Aujourd’hui on a une capacité d’accueil de 200 jeunes filles âgées de 11 à 15 ans. C’est une journée qui a un volet sportif mais aussi et surtout éducatif. Les filles viennent pour jouer au basket et l'objectif est de favoriser la pratique féminine. Il y a aussi trois ou quatre personnalités féminines inspirantes (Rokhaya Diallo, Gwladys Épangue, Amy Sibidé...ndlr) qui ont un moment d’échange avec les jeunes filles. C’est l’occasion pour ces jeunes basketteuses de poser des questions, de s’inspirer des parcours d’excellences. Ça donne des idées et le but est qu’elles repartent de cette journée l’esprit plein de bons conseils et d’envie.
"Mon objectif, c'est de montrer à ces jeunes qu'ils n'ont aucune limite"
On sent que c’est vital pour toi d’essayer d’ouvrir de nouveaux horizons pour les jeunes filles de Seine-Saint-Denis ? Complètement. C’est vrai que j’ai grandi à La Courneuve et je me rend compte que 10/15 ans après, il n’y a pas grand-chose qui a changé. Il y a toujours un frein. On fixe toujours des limites à ces jeunes et mon objectif c’est de leur prouver le contraire. Il faut qu’elles aient des ambitions élevées et qu’elles n’aient pas peur de les afficher.
Tu as créé ton podcast « SuperHumains » très récemment. Le premier épisode est sorti le 22 avril dernier et tu as reçu Aristide Barraud, ancien rugbyman du Stade Français touché par trois balles de Kalashnikov lors des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Peux-tu nous en dire plus sur le concept ? C’est un podcast que j’ai lancé il y a quelques semaines. D’ailleurs, le 2e épisode arrive bientôt. Super Humains a pour but de mettre en avant des parcours de vie hors du commun chez les sportifs, pas toujours facile à exprimer. Avec Aristide par exemple, j’ai la chance d’avoir un homme avec un vrai talent de narration donc c’était très agréable à écouter. J’espère que les personnes qui écoutent ses témoignages vont s’en inspirer et se diront que si telle personne à réussi à se relever, moi aussi je peux en faire de même.
L’année prochaine, tu joueras toujours à Lattes-Montpellier. Tu as décidé de prolonger assez tôt, en décembre 2019. C’est un club dans lequel tu te sens bien ? Je pense que ça confirme l’idée que je me sens bien à Montpellier. C’est un club qui a des objectifs élevés tous les ans, avec une équipe bien construite. Je ne me suis pas trop posé de questions, j’étais à la recherche de stabilité. En décembre quand on m’a proposé de resigner, je n’ai donc pas hésité longtemps.
Finalement c’est aussi le choix de la raison avec l’opportunité de jouer le titre en LFB et d’aller loin en EuroLeague ? En effet, les objectifs du club sont toujours élevés. On sort d’une saison EuroLeague vraiment riche, même si elle n’a pas pu aller à son terme. En LFB, l’objectif est toujours de gagner le titre. Ça fait 10 ans que le club est installé dans le top 4 du championnat donc il y a certaines attentes.
Quelques jours après la fin du confinement, nous avons posé quelques questions à Diandra Tchatchouang. À 28 ans, la joueuse originaire de Seine-Saint-Denis se définit comme une sportive et femme engagée. Lors de cet entretien passionnant, elle revient sur la place des études dans sa vie d'athlète professionnelle, son association "Study Hall 93", "Take Your Shot" la journée dédiée aux jeunes joueuses de La Courneuve ou encore son podcast "Super Humains", lancé il y a quelques semaines avec succès.
Après trois victoires d'affilée, Bourges a chuté contre l'ogre Ekateribourg. Rien de choquant pour une formation berruyères qui était privée de plusieurs joueuses (Dabovic, Dubié). En cas de victoire face à Orenburg, les Tango conserveraient un bilan positif.
A Fenerbahce, Lyon ne partira pas favori mais tout reste possible puisque la formation turque a été battue à Lattes Montpellier il y a une semaine. Devant son public, le club stambouliote voudra rectifier le tir. Avec un succès, LDLC ASVEL Féminin restera au contact du top 4. Un carré de tête où figure le BLMA qui sera en voyage à Girona. L'occasion pour les Gazelles de croiser l'internationale tricolore Magali Mendy, revenue en Catalogne après une saison à Villeneuve d'Ascq et où elle brille (15.3pts).
Mercredi 11 décembre Fenerbahce (TUR) - Lyon / 17h30 - FIBA TV Bourges - Orenburg (RUS) / 20h - FIBA TV
Jeudi 12 décembre Girona (ESP) - Lattes Montpellier / 20h15 - FIBA TV
Leader du groupe B avec Fenerbahce et Schio, Lattes Montpellier, qui reste sur un succès probant contre le club turc, doit désormais s'affirmer comme l'un des patrons. La prochaine étape pour les partenaires de Diandra Tchatchouang sera un déplacement à Girona jeudi. Bourges accueillera Orenbourg au Prado et Lyon sera en déplacement à Istanbul mercredi.
Samedi 12 octobre à 18h30 Lattes Montpellier - Lyon / LFB TV Vainqueur de ses deux premiers matches, Lattes Montpellier a parfaitement lancé sa saison et la réception de Lyon sera le premier test pour le BLMA. Fort de son succès au Match des Champions et face à Villeneuve d'Ascq mercredi, LDLC ASVEL Féminin veut continuer son bonhomme de chemin avant de débuter, comme les Gazelles, l'Euroligue la semaine prochaine.
Samedi 12 octobre à 20h Basket Landes - Bourges / LFB TV Invaincu après deux journées, le club du Sud Ouest s'attaque à un concurrent direct pour le top 4, Bourges. Les Tango ont été battues en milieu de semaine par Roche Vendée et comptent bien se rattraper suite à ce raté à domicile. Côté landais, les recrues semblent bien intégrées à l'image d'Ana Suarez (15pts de moyenne et 21.5 d'évaluation).
Roche Vendée - Charnay / LFB TV Leader du championnat, le RVBC retrouve son antre des Oudairies où il accueille le promu Charnay. Une équipe bourguignonne qui a joué les yeux dans yeux avec le BLMA puis Saint-Amand mais qui n'a pas encore gagné. Pour les Vendéennes, il faudra confirmer la belle victoire décrochée mercredi à Bourges et asseoir son nouveau statut.
Saint-Amand - Landerneau / LFB TV Si les Green Girls ont gagné leurs deux premiers matches, le LBB, battu à deux reprises, est en difficulté. Sur le parquet nordiste, les joueuses de Stéphane Leite vont devoir réagir. A l'inverse, Saint-Amand compte bien poursuivre sa belle série avant un programme copieux jusqu'à la trève : BLMA, Charleville, Basket Landes, Roche Vendée, Lyon puis Bourges.
Tarbes - Villeneuve d'Ascq / LFB TV Vainqueur au MAIF Open LFB puis battu dans les Ardennes, Tarbes est dans une meilleure situation comptable que l'ESBVA-LM, dominée à Paris puis à Lyon mercredi. Entre deux équipes que l'on devrait retrouver à la lutte pour les derniers strapontins en playoffs, le TGB part légèrement favori puisqu'il jouera à domicile.
Dimanche 13 octobre à 15h Nantes Rezé - Charleville-Mézières / LFB TV Au même titre que Villeneuve d'Ascq, Nantes Rezé a un début de saison compliqué. Défaites après prolongation au MAIF Open LFB par Saint-Amand, les Déferlantes ont pris la marée face au BLMA mercredi (-34). Tout le contraire des Flammes qui, battues à Paris par Basket Landes, ont parfaitement rectifié le tir dans leur salle contre Tarbes (+19).
Alors que seulement deux journées ont été jouées, le premier choc de la saison entre prétendants au titre est prévu ce week end. Le remake de la finale des derniers playoffs LFB entre Lattes Montpellier et Lyon lancera les hostilités (samedi à 18h30) puis Basket Landes - Bourges prendra le relai (20h). Tous les matches seront diffusés en direct sur LFB TV.
Lattes Montpellier - Olympiacos (GRE) / 20h en direct sur FIBA TV Secouées par Jessica Thomas et ses partenaires au match aller, les Gazelles seraient bien inspirées de mieux démarrer la rencontre puisqu'elles étaient menées 48-33 après 24 minutes de jeu. Dans le sillage de Stephanie Mavunga (26pts), le BLMA avait repris les choses en mains pour l'emporter de trois points. On imagine qu'avec une semaine de travail collectif en plus, les automatismes sur le parquet flambant neuf du palais des sports de Lattes seront meilleurs et que la troupe de Thibaut Petit saura verrouiller rapidement sa qualification pour l'Euroligue. Lattes Montpellier intègrerait alors le groupe B en compagnie de Lyon, Schio et Kursk notamment.
Vainqueur dans la douleur du match aller sur le parquet de l'Olympiacos (66-63), Lattes Montpellier accueille ce soir l'équipe grecque avec la volonté de sécuriser au plus vite sa place pour la saison régulière d'Euroligue.
La saison dernière, la formation grecque de l'Olympiacos était déjà sortie des qualifications en éliminant un habitué de l'Euroligue, Cracovie. Les Gazelles devront donc se méfier d'une équipe qui, sur le papier, ne partira pas favorite. L'effectif grec est alimenté en grande partie par des joueuses de l'équipe nationale (Anna Spyridopoulou, Angeliki Nikolopoulou, Afroditi Kosma, Aikaterina Sotiriou, Jacki Gemelos) et l'Américaine Jessica Thomas (9.8pts par match la saison dernière en Euroligue) a été conservée.
Côté BLMA, la préparation a été difficile et plusieurs joueuses ne sont arrivées que très récemment (Whitcomb le 19 septembre, Gabby Williams et Stephanie Mavunga le 22). Mais il faudra rapidement être opérationnel pour qualifier le club en Euroligue.
Ce mercredi à 17h30, les Gazelles du BLMA affrontent l'Olympiacos en qualification d'Euroligue. Les partenaires de Diandra Tchatchouang pourraient faire un grand pas en cas de victoire même s'il restera un match retour à jouer dans une semaine.
Cadre de l’Équipe de France féminine depuis de nombreuses années (83 sélections), Diandra Tchatchouang restera aux côtés du Groupe France lors des deux matches de préparation face à l’Ukraine à Mont-de-Marsan (10 et 11 juin).
La FFBB et le staff médical des Bleues seront ensuite à la disposition de la joueuse tricolore dans son protocole de soins et de réathlétisation afin qu’elle puisse revenir à son meilleur niveau, en particulier dans la perspective d’une participation au Tournoi de Qualification Olympique pour les J.O. de Tokyo 2020
Gênée par un problème méniscal au genou gauche, et malgré les soins médicaux et les précautions prises depuis le début de la préparation, l’ailière tricolore Diandra Tchatchouang (1,86m, 28 ans) est contrainte de déclarer forfait pour l’Euro 2019 (27 juin au 7 juillet en Lettonie et en Serbie).
Orenburg (RUS) - Lattes Montpellier / 16h Comme toujours dans les matches couperets d'Eurocoupe, il faudra soigner la manche aller pour ne pas hypothéquer ses chances au retour surtout qu'un trophée est au bout de ces deux fois 40 minutes. Les Gazelles auront certes l'avantage du terrain mais il faudra d'abord gérer un délicat déplacement en Russie. Côté Orenburg, le danger viendra principalement de l'axe 1-5 américain composé d'Erica Wheeler et Brionna Jones. Les joueuses de Thibaut Petit sont être dans une grande forme, à l'image de leur demi-finale retour contre Girona la semaine dernière (+29), et prêtes à aller au combat. Pour écrire leur histoire.
Le chiffre : 2 Elles sont deux lattoises à avoir déjà soulevé l'Eurocoupe dans leur carrière. Il s'agit de Diandra Tchatchouang et Helena Ciak, vainqueurs en 2016 lorsqu'elles évoluaient à Bourges. Blessée de longue date, Marielle Amant ne participera pas à la finale 2019 mais elle pourra donner quelques précieux conseils à ses partenaires puisqu'elle en a joué 3 (2011 avec Arras, 2015 et 2016 avec Villeneuve d'Ascq) et gagné une (2015).
Ce mercredi (16h), Lattes Montpellier va vivre la première finale européenne de son histoire. Les partenaires de Diandra Tchatchouang se rendent en Russie, à Orenburg, avec l'ambition d'y faire un coup. Avant de recevoir la finale retour, dans une semaine, à Lattes.